La Guard Suisse face a la Wehrmacht

Started by poche, February 11, 2013, 11:52:24 PM

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poche

Ici il y a quelque chose. Tres peu personnes savent que Pie XII avait ete informes que Adolf Hitler envisageait une action violente contre lui.

http://jeunescatholiques.forumgratuit.org/t400-la-garde-suisse-face-a-la-wehrmacht

Gottmitunsalex

#1
mon français est mauvais. Je ne comprends pas très bien ce que vous avez initialement écrit.
Le lien est verrouillé par un mot de passe. Mais est-ce lié à quand le Pape Piux XII a donné sa bénédiction apostolique à Ante Paveli??

"Nothing is more miserable than those people who never failed to attack their own salvation. When there was need to observe the Law, they trampled it under foot. Now that the Law has ceased to bind, they obstinately strive to observe it. What could be more pitiable that those who provoke God not only by transgressing the Law but also by keeping it? But at any rate the Jews say that they, too, adore God. God forbid that I say that. No Jew adores God! Who say so? The Son of God say so. For he said: "If you were to know my Father, you would also know me. But you neither know me nor do you know my Father". Could I produce a witness more trustworthy than the Son of God?"  St. John Chrysostom  Sunday Homily

"The two goals of the Jews: The universal domination of the world and the destruction of Catholicism, out of hatred for Christ" --Mgr. Jouin

Gottmitunsalex

"Nothing is more miserable than those people who never failed to attack their own salvation. When there was need to observe the Law, they trampled it under foot. Now that the Law has ceased to bind, they obstinately strive to observe it. What could be more pitiable that those who provoke God not only by transgressing the Law but also by keeping it? But at any rate the Jews say that they, too, adore God. God forbid that I say that. No Jew adores God! Who say so? The Son of God say so. For he said: "If you were to know my Father, you would also know me. But you neither know me nor do you know my Father". Could I produce a witness more trustworthy than the Son of God?"  St. John Chrysostom  Sunday Homily

"The two goals of the Jews: The universal domination of the world and the destruction of Catholicism, out of hatred for Christ" --Mgr. Jouin

poche

JE ne sais pas si on peut classer ça dans la rubrique humour car c'est surtout un nouveau miracle de Dieu, mais je trouve que là, Il avait de l'humour ...

Peu de personnes savent que Pie XII avait été informé au printemps 1943 que Adolf Hitler, très mécontent de son soutien, très discret mais cependant assez efficace, envers les Juifs persécutés en Europe par les troupes allemandes d'occupation, envisageait une action violente contre lui. Aussi, il a rédigé une lettre secrète de démission, remise à trois cardinaux de pays neutres hors d'Europe, leur demandant de la rendre publique dès qu'ils apprendraient son enlèvement par les troupes allemandes, et de convoquer immédiatement un conclave dans un pays libre pour élire son successeur. Ainsi les Allemands n'auraient fait prisonnier que l'évêque de Rome, et non le pape...

Très peu de temps après les troupes allemandes, mécontentes du renversement des alliances de l'Italie de côté des Alliés, ont envahi le Nord de l'Italie. Le 10 septembre 1943 la Wehrmacht atteint Rome et arrive devant la place Saint-Pierre. Pie XII avait fait savoir à son entourage qu'il comptait se livrer aux troupes allemandes pour éviter un bain de sang au Vatican. Le commandant des gardes suisses, prit cependant l'initiative de leur demander de sortir avec leurs hallebardes et de bloquer symboliquement la frontière du Vatican. Les gardes suisses firent donc courageusement face aux auto-mitrailleuses de la Wehrmacht. Ce geste surprit le général allemand qui les commandait et qui, par prudence, arrêta ses troupes et voulu se couvrir en contactant par radio Maréchal Albert Kesselring commandant en chef des troupes allemandes en Italie : « Monsieur le Maréchal, devons-nous oui ou non entrer au Vatican ? ». Le Maréchal Kesselring jugea la question trop délicate pour être tranchée par lui et contacta à Berlin, le général Alfred Jold, chef d'État-major de toutes les forces armées allemandes, bras droit de Adolf Hitler. Celui-ci refusa également de se prononcer et fit remonter la question au Führer lui-même. Celui-ci, après avoir interrogé son ministre des Affaires Étrangères Joachim von Ribbentrop qui lui fit valoir que de porter la main sur la personne du pape lui vaudrait immédiatement la perte de tous les soutiens de l'Allemagne dans les pays d'Amérique centrale et du sud (dont beaucoup étaient encore neutres dans le conflit mondial), donna finalement l'ordre suivant « Nos troupes n'entrent pas au Vatican ! ». Depuis la fenêtre de ses appartements Pie XII vit ce spectacle incroyable : l'armée allemande faire demi-tour face aux gardes suisses avec leurs hallebardes. Un cas unique dans la Seconde Guerre Mondiale.